Seinfeld
Dans son propre rôle de comique, le bavard Jerry Seinfeld mène une vie qui ne le gâte pas tout le temps, notamment à cause des femmes. Avec son collaborateur malhonnête et son voisin loufoque, Jerry analyse toutes les petites choses du quotidien et les absurdités de la société.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, France 2, HBO | 1989 |
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2.12 - Pas de bol
The Busboy
George ne sait comment s'y prendre pour se faire pardonner, après avoir été responsable du renvoi d'un serveur. Pendant ce temps, Elaine se retrouve avec un prétendant issu de Seattle
Diffusion originale : 26 juin 1991
Diffusion française :
26 juin 1991
Réalisat.eur.rice.s :
Tom Cherones
Scénariste.s :
Jerry Seinfeld
,
Larry David
Guest.s :
David Labiosa
,
Doug Ballard
,
John Del Regno
,
Larry David
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Critique : Seinfeld 2.01
Episode de reprise convenable, qui prolonge sans renouveler avec une histoire de rupture peu crédible. Au programme, les joies du hasard selon Georges et Kramer, et des personnages secondaires en manque d'indépendance..
Ok, donc l'ordre de diffusion de la série au USA et celui présenté dans les coffrets DVD diffèrent. Ainsi cet épisode qui se trouve à la 3ème place dans l'anthologie de la série a été diffusé en dernier au USA. Cela est vraiment étrange, je vais tout de même suivre l'ordre de création des épisodes et non de leurs diffusions.
Donc l'épisode n'est pas exceptionnel, soufrant d'une première partie sans rythme, ni éclat. Mais il est révolutionnaire dans le sens où la première fois on suit les autres personnages, sans que Jerry ne soit présent. Même si ce n'est pas encore au point, notamment la séquence de George et Kramer chez le serveur manquent vraiment d'étincelles. Elaine se réveillant en retour pour l'aéroport est beaucoup plus convaincant, grâce à l’énergie de l'actrice.
Autre première fois : le télescopage des intrigues comme sur la toute dernière séquence où Eddie et le serveur se battent. Cela sera une marque de fabrique de la série (comme les faux happy-end tel celui du serveur).
Et finalement, c'est jerry qui se montre le plus drôle, comme lorsqu'il sert d’intermédiaire à la discussion entre George au téléphone et Kramer ou ses sketchs sur scène avec le canon et le combat de boxe.